La représentation du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) à Djibouti, conduite par sa Représentante Résidente, Mme Fatima Elsheikh accompagnée de son équipe, a eu une séance de prise de contact et de travail avec l’Agence Djiboutienne de Développement Social (ADDS) ce 19 novembre.
Ce fut l’occasion pour l’ADDS de présenter ses programmes axés sur (i) la lutte contre la pauvreté, (ii) les filets sociaux de sécurité, (iii) l’environnement, (iv) le genre, (v) l’accès aux services de base comme l’électricité et l’eau. Ces programmes, traduits opérationnellement par des projets sur des financements nationaux et internationaux, s’opèrent aussi bien en milieu rural qu’urbain et selon une approche intégrée. Et ces projets comprennent des rattrapages d’infrastructures, des renforcements de capacités des élus des collectivités et de la société civile ainsi que des formations pour l’employabilité des jeunes déscolarisés, des activités d’appui en faveur des femmes. Et le tout accompagné d’un mécanisme d’appui financier à travers les Caisses Populaires d’Epargne et de Crédit (CPEC).
La Représentante Résidente a félicité l’ADDS pour sa place pivot dans l’architecture institutionnelle de la lutte contre la pauvreté, pour ses actions en faveur du développement social et centré sur l’humain. Elle a apprécié le travail important effectué et ce qui reste encore à mener. Elle a noté, par ailleurs, que la plupart des projets sont financés par des prêts, ce qui signifie que le pays est résolument décidé à investir pour l’avenir. Tout particulièrement, elle a apprécié l’approche par les Groupe d’Entraide et d’Affinité (GEA) promouvant les prêts internes aux groupes de femmes, un mécanisme qui conduit ces femmes vers un développement sans appel au crédit extérieur, une autonomisation du genre en fait.
Après les échanges de vue, les deux institutions ont exploré les possibilités de partenariat stratégique. A ce titre, le PNUD a informé qu’il est envisageable qu’il puisse assister l’ADDS dans le process de mesures d’impact de ses activités par une méthodologie plus élaborée. Il est, par ailleurs, en discussion avec le Ministère des Affaires Sociales et des Solidarités en vue d’une étude et analyse multidimensionnelle de la pauvreté. L’ADDS sera conviée à l’atelier de lancement de cette étude.
Le PNUD démarre aussi actuellement deux projets : d’une part, en faveur des jeunes en les accompagnant à murir leurs projets mais aussi dans leur réalisation et d’autre part, en faveur des jeunes filles et des femmes pour un meilleur accès à l’éducation et dans la promotion d’activités génératrices de revenus. Il existe des possibilités de partenariat sous forme de Mémorandum d’entente (MOU) dans ces cadres. Le PNUD appuiera aussi l’ADDS dans le domaine de la microfinance islamique et le développement de l’agriculture.
du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) à Djibouti, conduite par sa Représentante Résidente, Mme Fatima Elsheikh accompagnée de son équipe, a eu une séance de prise de contact et de travail avec l’Agence Djiboutienne de Développement Social (ADDS) ce 19 novembre.
Ce fut l’occasion pour l’ADDS de présenter ses programmes axés sur (i) la lutte contre la pauvreté, (ii) les filets sociaux de sécurité, (iii) l’environnement, (iv) le genre, (v) l’accès aux services de base comme l’électricité et l’eau. Ces programmes, traduits opérationnellement par des projets sur des financements nationaux et internationaux, s’opèrent aussi bien en milieu rural qu’urbain et selon une approche intégrée. Et ces projets comprennent des rattrapages d’infrastructures, des renforcements de capacités des élus des collectivités et de la société civile ainsi que des formations pour l’employabilité des jeunes déscolarisés, des activités d’appui en faveur des femmes. Et le tout accompagné d’un mécanisme d’appui financier à travers les Caisses Populaires d’Epargne et de Crédit (CPEC).
La Représentante Résidente a félicité l’ADDS pour sa place pivot dans l’architecture institutionnelle de la lutte contre la pauvreté, pour ses actions en faveur du développement social et centré sur l’humain. Elle a apprécié le travail important effectué et ce qui reste encore à mener. Elle a noté, par ailleurs, que la plupart des projets sont financés par des prêts, ce qui signifie que le pays est résolument décidé à investir pour l’avenir. Tout particulièrement, elle a apprécié l’approche par les Groupe d’Entraide et d’Affinité (GEA) promouvant les prêts internes aux groupes de femmes, un mécanisme qui conduit ces femmes vers un développement sans appel au crédit extérieur, une autonomisation du genre en fait.
Après les échanges de vue, les deux institutions ont exploré les possibilités de partenariat stratégique. A ce titre, le PNUD a informé qu’il est envisageable qu’il puisse assister l’ADDS dans le process de mesures d’impact de ses activités par une méthodologie plus élaborée. Il est, par ailleurs, en discussion avec le Ministère des Affaires Sociales et des Solidarités en vue d’une étude et analyse multidimensionnelle de la pauvreté. L’ADDS sera conviée à l’atelier de lancement de cette étude.
Le PNUD démarre aussi actuellement deux projets : d’une part, en faveur des jeunes en les accompagnant à murir leurs projets mais aussi dans leur réalisation et d’autre part, en faveur des jeunes filles et des femmes pour un meilleur accès à l’éducation et dans la promotion d’activités génératrices de revenus. Il existe des possibilités de partenariat sous forme de Mémorandum d’entente (MOU) dans ces cadres. Le PNUD appuiera aussi l’ADDS dans le domaine de la microfinance islamique et le développement de l’agriculture.