Hier était le jour de gloire des cheffes de centres des CPEC de Djibouti-ville, d’Ali-Sabieh, d’Arta, de Dikhil, d’Obock, et de Tadjourah. Les principales concernées ont vu leurs mérites consacrer au siège de l’UNFD. Et ce par la remise des certificats de reconnaissance qu’elles ont reçues des mains respectives de la secrétaire d’Etat, chargée des Affaires Sociales, la ministre de la Femme et la Famille, et des autres personnalités réunies sur les lieux.
La semaine nationale de l’action sociale battait son plein, hier au siège de l’Union nationale des femmes djiboutiennes(UNFD). L’imposant édifice a abrité une cérémonie de remise de certificats de reconnaissance aux cheffes de centres d’institutions de micro finance, opérationnelles dans la capitale et les régions de l’intérieur.
Placé sous l’égide de la secrétaire d’Etat, chargée des Affaires Sociales, Mouna Osman Aden, l’événement a regroupé sur place la ministre de la Femme et la Famille, Moumina Houmed Hassan, la secrétaire générale de l’UNFD, Fatouma Moussa Ahmed, le directeur général de l’agence djiboutienne de développement social(ADDS), Mahdi Mohamed Djama, des cadres supérieurs issus des rangs respectifs des départements ministériels des affaires sociales et de la promotion de la femme. Sans oublier un bon nombre d’adhérentes de structures associatives locales qui étaient représentatives de la clientèle féminine des caisses d’épargne et de crédit(CPEC).
Tout ce beau monde avait des égards particuliers envers les cheffes de centres des CPEC de Djibouti-ville, d’Ali-Sabieh, d’Arta, de Dikhil, d’Obock, et de Tadjourah. Les deux membres du gouvernement, les hauts fonctionnaires, et les militantes de l’UNFD les qualifiaient à mots ouverts de « valeureuses pionnières » dans le développement de la micro finance à l’échelle nationale.
Hier était donc leur jour de gloire. Les principales concernées ont vu leurs mérites consacrer au siège de l’UNFD. Et ce par la remise des certificats de reconnaissance qu’elles ont reçues des mains respectives de la secrétaire d’Etat, chargée des Affaires Sociales, la ministre de la Femme et la Famille, et des autres personnalités réunies sur les lieux. Des moments que les caméras des professionnels des médias nationaux ont immortalisés sous les applaudissements nourris de l’assistance. De telles scènes véhiculaient un signal fort, celui de la ferme volonté du gouvernement à promouvoir l’essor de la micro finance sous les cieux djiboutiens. Ces images étaient aussi chargées de symboles forts. Elles venaient matérialiser un engagement politique des autorités nationales auprès des gérantes et clientes d’institutions de micro finance. Il s’agissait en quelque sorte d’une promesse de pérennisation de ces finances dites solidaires. Qu’elles soient classiques ou islamiques. Les pionnières des CPEC, distinguées hier au siège de l’UNFD, en ont pris acte.