Jeudi dernier au siège de l’UDC, sis au quartier d’Arhiba, il était question du partage des rôles entre les différentes parties prenantes dans la mise en œuvre du projet des filets sociaux de sécurité, axé sur l’emploi, au niveau local.
Une réunion d’information et de sensibilisation sur le projet des filets sociaux de sécurité s’est tenue jeudi dernier au siège de l’UDC, sis à Arhiba.
Organisée par l’agence djiboutienne de développement social(ADDS), la rencontre a vu la participation du président de la commune de Boulaos, Saïd Abdi Elmi, des responsables de l’ADDS en charge de la coordination du projet, des membres du comité local de développement d’Arhiba.
Le CLD de son acronyme français regroupe les acteurs du tissu associatif, les leaders religieux, les représentants de la municipalité et la préfecture.
Il a ainsi été question du partage des rôles entre les différentes parties prenantes dans la mise en œuvre du projet des filets sociaux de sécurité, axé sur l’emploi.
Concrètement, les coordinateurs de l’ADDS ont mis en exergue auprès de leurs interlocuteurs l’importance de veiller au respect des prérogatives de chacun pour mieux servir les riverains d’Arhiba.
Les dirigeants d’associations locales sont censés se faire l’écho des aspirations de leurs mandants. Ils doivent se concerter en permanence avec le reste du comité local de développement afin de définir et hiérarchiser les priorités à réaliser dans le cadre du projet des filets sociaux de sécurité.
Les uns et les autres mieux informés devront favoriser une meilleure exécution des travaux de ce programme d’envergure, financé par la banque mondiale. Il s’agit pour ses instigateurs d’améliorer par ce biais les conditions de vie des habitants d’Arhiba.